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lundi, février 06, 2006

tiger l'osmose est deçu par l'equipe de france de rugby

Ils auraient du visiter mon site du tiger osmose
Le XV de France a laissé échapper toute chance de réaliser le Grand Chelem dans l'édition 2006 du Tournoi des six nations de rugby en s'inclinant en Ecosse (20-16), dimanche lors de la première journée.

Les Français, absents dans le combat, multipliant les mauvais choix et les fautes de main, comptaient dix longueurs de retard (13-3), à la mi-temps. Ils avaient notamment concédé un essai, signé Sean Lamont, à la suite d'un plaquage raté de Michalak (11e).

L'Ecosse, dont la dernière victoire sur la France remontait à 1999, ont accru leur avance en début de seconde période, sur un deuxième essai, inscrit par l'ailier Sean Lamont, venu se mêler à un maul dévastateur des avants (20-3, 46e).

Lancé dans une course poursuite désespérée, le XV de France est parvenu à inscrire deux essais par Julien Bonnaire (51e) et Sébastien Bruno (77e). Trop tard ! Les Ecossais, gérant parfaitement la fin de match, parvenaient à battre le XV de France à Murrayfield pour la première fois depuis 1996.

Lors de la deuxième journée, le samedi 11 février, le XV de France accueillera l'Irlande, alors que l'Italie recevra l'Angleterre. Le troisième match, pays de Galles - Ecosse, sera joué le dimanche 12 février.

L'Angleterre, qui a écrasé le pays de Galles (47-13), a confirmé son grand retour au premier plan lors de la 1re journée du Tournoi des six nations de rugby, également marquée par la révolte des "petits", avec l'Italie battue de justesse en Irlande (26-16) et surtout l'Ecosse, victorieuse de la France (20-16).

Auteur de six essais, l'Angleterre a remporté sa troisième plus large victoire aux dépens des Gallois, auteurs du Grand Chelem en 2005.

Les Anglais avaient seulement fait mieux en 1998 et 2002, à chaque fois dans des années pré-Coupe du monde.

Tenante du titre mondial, l'Angleterre, qui sort de deux années délicates (2004, 2005), ponctuées par cinq défaites en dix matches du Tournoi, ont retrouvé un pack, alors que les lignes arrières ont étalé de gros progrès par rapport aux tests-matches du mois de novembre, au cours desquels le XV de la Rose avait battu l'Australie (26-16) et bien résisté à la Nouvelle-Zélande, victorieuse à Twickenham (23-19).

Les Anglais pourront poursuivre leur progression lors de la prochaine journée, puisqu'ils se déplaceront en Italie, le 11 février.

Le voyage à Rome s'annonce cependant moins paisible que lors des saisons précédentes, notamment parce que la Squadra Azzurra a réussi, malgré sa défaite en Irlande, l'un de ses meilleurs matches depuis son entrée dans le Tournoi, en 2000.

Battus à la suite d'un essai non valable accordé aux Irlandais, les Italiens, désormais dirigés par Pierre Berbizier, ex-entraîneur du XV de France, ont été très performants dans le jeu. Ils ont également évité de commettre des fautes inutiles comme lors des saisons précédentes.

L'Ecosse, entraînée par Frank Hadden depuis juin 2005, a complété dimanche après-midi cette révolte des petits en battant la France à Murrayfield pour la première fois depuis 1996.

Auteurs de deux essais, signés par l'ailier Sean Lamont, les Ecossais, en pleine crise structurelle, ont remporté leur premier succès sur une nation majeure depuis novembre 2002 (face à l'Afrique du Sud).

Cette défaite marque un coup d'arrêt pour les Français, considérés comme les grands favoris du Tournoi après avoir remporté quatre succès lors des tests-matches du mois de novembre face à l'Australie, le Canada, les Tonga et l'Afrique du Sud.

Surtout, les Français ont concédé leur deuxième défaite en onze matches du Tournoi des six nations disputés depuis 2004.

Lors de la prochaine journée, la France recevra l'Irlande alors que l'Italie accueillera l'Angleterre le samedi 11 février. Le lendemain, l'Ecosse se déplacera au pays de Galles.

Le XV de France, ou plutôt son fantôme, battu par l'Ecosse (20-16) dimanche à Murrayfield, à l'issue d'une pâle prestation, a laissé échapper toute chance de réaliser le Grand Chelem dès la première journée du Tournoi des six nations de rugby.

Quel contraste ! Plein de classe, de générosité et de talent en novembre, notamment face à l'Australie et à l'Afrique du Sud, le XV de France, auteur d'une entame de match catastrophique, a pointé absent au combat et multiplié les fautes, avant de concéder sa première défaite à Murrayfield depuis 1996.

Ce match a également été marqué par de grosses contre-performances sur le plan individuel, qui pourraient entraîner quelques changements dans la liste des 22 joueurs dévoilée lundi en vue du match face à l'Irlande, le 11 février au Stade de France.

Les Ecossais se sont eux appuyés sur un plan de jeu basique, basé sur une conquête efficace en touche, autour du deuxième ligne Scott Murray, des mauls dévastateurs et une défense très efficace sur la largeur du terrain.

Surtout, le XV du Chardon, transfiguré depuis l'arrivée de l'entraîneur Frank Hadden en juin 2005, a étalé un état d'esprit irréprochable, un énorme sens du sacrifice pour repousser les attaques françaises ou récupérer de nombreux ballons au sol, autour de la zone de plaquage.

Les Ecossais, dont le précédent succès sur la France remontait à 1999 au Stade de France, ont notamment parfaitement géré leur avance, bâtie lors d'une première demi-heure à sens unique.

Incapables de maîtriser correctement les phases de conquête, les Français abandonnèrent l'initiative du jeu à leurs adversaires, qui menèrent rapidement (13-0, 31e), grâce notamment à un essai de l'ailier Sean Lamont, qui échappa à Frédéric Michalak (11e).

Ils se lancèrent alors dans une course-poursuite désespérée, sans oublier de multiplier les approximations et les fautes en tout genre. Dans ce cadre, la palme revient aux lignes arrières, orphelines de Yannick Jauzion, contraint de déclarer forfait vendredi et dont la capacité à franchir les défenses a cruellement manqué.

Au milieu de quelques éclairs signés Florian Fritz, l'un des rares joueurs à surnager avec les troisièmes lignes Yannick Nyanga ou Rémy Martin, on ne compte plus les courses mal ajustées, les ballons rendus ou les mauvais choix. Sans oublier un jeu au pied déficient.

Illustration ? le deuxième essai écossais, né d'un ballon rendu au pied par Nicolas Brusque et prestement renvoyé dans les trente mètres français. Touche, conquête écossaise, et maul dévastateur sur trente mètres qui dépose Sean Lamont dans l'en-but (20-3, 46e).

Au grand jeu du handicap, les Français partaient de loin, de trop loin ! Ils ne parvinrent à inscrire que deux essais dans la dernière demi-heure, sur des actions "large-large", censées étirer la défense adverse. Julien Bonnaire conclut le premier en bout de ligne (51e). Et son remplaçant, Thomas Lièvremont, tout juste entré en jeu, offrit le second à Sébastien Bruno d'une passe acrobatique (77e).

Trop tard ! les Ecossais s'accrochèrent à leur maigre avance avec une énergie de morts de faim, en gérant parfaitement le dernier ballon, rendu par le XV de France, via un jeu au pied approximatif. Comme un symbole !

Une salve de pétards, descendue du toit de Murrayfield, salua la victoire inespérée des Ecossais, qui ont retrouvé une âme. Tant pis pour le XV de France. Tant mieux pour le Tournoi !


source wanadoo.fr

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